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Mais ces deux axes pourraient avoir un impact majeur sur le développement de l’IA aux États-Unis : Ces deux axes pourraient être cruciaux pour l’avenir de l’IA en Amérique : « Nous abrogerons les décrets dangereux de Joe Biden qui entravent l’innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle et imposent les idées de la gauche radicale sur cette technologie. »Cette déclaration est claire. Ce célèbre décret exécutif a été le premier à établir la réglementation américaine en matière d’IA. Il stipule simplement : « Les républicains sont plutôt en faveur d’une IA basée sur l’épanouissement humain et la liberté d’expression. » C’est un peu ironique, mais cela nous rappelle aussi pourquoi Elon Musk a acheté Twitter et créé un concurrent de ChatGPT (New Window). Il a critiqué les plateformes existantes parce qu’elles censuraient trop et avaient une approche trop « woke ».
L'écart avec l'Europe risque de se creuser
On a tenté à maintes reprises de savoir ce que Trump allait faire, mais on ne sait que deux choses : les domaines d’intervention. On peut facilement imaginer que l’administration Biden adoptera une approche réglementaire plus souple. Beaucoup de gens font cette hypothèse. Il s’agit du soutien indéfectible d’Elon Musk à Donald Trump. N’oublions pas qu’Elon Musk est soutenu par un certain nombre d’investisseurs qui sont impliqués dans des startups d’IA. Les investisseurs sont opposés à toute forme de réglementation. On peut imaginer une stratégie centrée sur l’Amérique, dans laquelle l’administration Biden aurait participé aux efforts de réglementation internationaux.
En raison des réglementations européennes, il peut falloir des mois pour que de nombreuses applications et services dotés d'IA atteignent les États-Unis. Google, Apple et OpenAI en sont quelques exemples. Les produits de Meta, par exemple, pourraient ne jamais être commercialisés en Europe.
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